5ème Projection dimanche matin - Gare centrale

5ème projection organisée par  L'Association Henri Langlois  d'un film de patrimoine le dimanche matin à 10h30. 

La séance aura lieu Dimanche 17 octobre 2021 à 10h30.

Le film choisi est Gare centrale (Bab al-Hadid) de Youssef Chahine

Égypte – 1958 – 1h14 – Avec Youssef Chahine, Hind Rostom, Farid Chawki

Gare centrale

Kenaoui, un homme boiteux à l'esprit simple, est vendeur de journaux à la gare centrale du Caire. Il est amoureux de la belle Hanouma, vendeuse clandestine de boissons. Quant à elle, elle rejette sa cour assidue car elle est promise à Abou Seri, un porteur occupé à fonder un syndicat…

Avec Gare centrale, entre drame psychologique et film noir, Youssef Chahine transgresse les tabous de son temps, en osant traiter des maux de la société égyptienne, à travers le portrait méticuleux de ses personnages. Il signe ici son premier "film d'auteur", film dans lequel sa parole est d'autant plus forte qu'il y interprète le personnage principal, dévoilant au passage son admirable talent d'acteur.

4ème Projection dimanche matin - Sanjuro

4ème projection organisée par  L'Association Henri Langlois  d'un film de patrimoine le dimanche matin à 10h30. 

Après avoir été annulée pour cause de crise sanitaire, la projection est reprogrammée.

La séance aura lieu Dimanche 18 octobre 2020 à 10h30.

Le film choisi est Sanjuro (Tsubaki Sanjûrô) de Akira Kurosawa

Japon - 1962 - 1h38 – Avec Toshiro Mifune, Tatsuya Nakadai, Yuzo Kayama

Sanjuro

© 1962, TOHO Co., Ltd. Tous droits réservés

Neuf jeunes samouraïs sont alliés pour lutter contre la corruption, mais leur fougue et leur inexpérience les précipitent au devant de graves dangers. C'est alors que Sanjuro, un rônin, décide de les prendre sous son aile pour les aider à déjouer le complot ourdi contre le chambellan. La seule chose qu'il n'avait pas prévue, c'est qu'il se retrouve face au redouble Muroto…

Après l'immense succès de Yojimbo (1961), Kurosawa met à nouveau en scène le personnage de Sanjuro, un samouraï rusé et menteur, incarné par Toshiro Mifune, son acteur fétiche. Bien qu'il s'appuie sur le genre chanbara (films de samouraïs et de combats au sabre), il en dévie adroitement les codes, et nous offre un spectacle éblouissant sur le ton d'une irrésistible comédie.

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