12ème Projection dimanche matin - Deux mi-temps en enfer

12ème projection organisée par  L'Association Henri Langlois, elle aura lieu le dimanche matin 21 mai 2023 à 10h30. 

Le film choisi est Deux mi-temps en enfer (Két félidő a pokolban) de Zoltán Fábri.

Hongrie – 1961 – 2h00 – Avec Imre Sinkovits, Dezső Garas, Gyula Benkő...

Deux mi-temps en enfer
DEUX MI-TEMPS EN ENFER
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En 1944, dans un camp de prisonniers hongrois, sous la férule nazie… La vie quotidienne, avec son lot de corvées, de privations et d'humiliations, est tout à coup perturbée : Pour honorer l'anniversaire du führer, il est décidé d'organiser un match de football opposant une équipe de prisonniers à une équipe allemande

Avec son huitième long métrage, Zoltán Fábri (1917-1994) frappe fort. Tout en dénonçant le nazisme, il observe les comportements d'une communauté humaine dans toutes ses contradictions, ses tactiques de survie contre son désespoir. Servi par un somptueux noir et blanc, ce film nous embarque dans une aventure inoubliable.

11ème Projection dimanche matin - Le baiser de la femme araignée

11ème projection organisée par  L'Association Henri Langlois , qui s'inscrit dans le cadre du Festival "Désir Désirs" (Programme téléchargeable ici) , elle aura lieu le dimanche matin 29 janvier 2023 à 10h30. 

Le film choisi est Le baiser de la femme araignée (Kiss of the spider woman / O beijo da mulher aranha) de Héctor Babenco.

États-Unis / Brésil – 1985 – 2h00 – Avec William Hurt, Raul Julia, Sonia Braga...

Le baiser de la femme araignée
LE BAISER DE LA FEMME ARAIGNÉE
© 1985 HB FILMES / SUGARLOAF FILMS, Inc.
Tous droits réservés

Dans une dictature d'Amérique Latine, deux détenus sont incarcérés dans la même cellule : l'un, le journaliste Valentin, pour ses convictions politiques, l'autre, Molina, pour une affaire de mœurs. Opposés l'un à l'autre par bien des aspects, chacun doit faire une part du chemin qui pourrait les amener à plus de compréhension. Et pendant ce temps-là, la dictature veille sur eux…

Adapté du célèbre roman éponyme de Manuel Puig, le film met en scène avec subtilité la relation entre les protagonistes brillamment incarnés par les acteurs. Héctor Babenco, toujours intéressé par les marges de la société, nous parle de la répression dans un régime autoritaire, en livrant des images étonnantes qui mêlent la cruauté du monde carcéral à la poésie onirique du monde imaginaire.

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