Les articles publiés dans les anciens numéros du journal
Duel : réenchantement de l'Ouest sauvage ou paranoïa de l'homme moderne ?
Un camionneur qui poursuit une voiture… Derrière la maigreur apparente de son scénario, le film de Steven Spielberg, Duel (1971) est en vérité assez fascinant, à condition de le lire comme une allégorie de la crise que traverse l’identité américaine au début des années 70.
Cannes – Orléans : les autres films
Si le festival Cannes 1939 (voir cinéfil n°59) a primé en novembre dernier de grands films qui sont encore dans toutes les mémoires (M. Smith au sénat de Frank Capra, Alexandre Nevski de Sergueï Eisenstein, Elle et lui de Léo McCarey), il a permis aussi de découvrir quelques films plus rares qui, sans être des chefs d’œuvre, n’en sont pas moins des films d’un réel intérêt.
A propos de Casablanca
L’action du film de Michael Curtiz se déroule presque dans un lieu unique, le Rick’s Café, ce bar américain tenu par Rick Blaine, un homme amer et désenchanté, revenu de tous ses idéaux. Nous sommes en 1942 et, avec sa clientèle cosmopolite, le Rick’s Café est un raccourci étonnant du conflit mondial. S’y côtoient des policiers corrompus, des officiers nazis, des espions, des résistants, des réfugiés…
Lieu mythique s’il en est !
Viva il cinema ! septième
Du 4 au 8 mars prochain, et pour la 7eme année consécutive, le festival Viva il cinema ! mettra à l’honneur le cinéma italien contemporain en proposant une sélection de films, des hommages et des évènements (programme complet à retrouver sur le site www.viva-il-cinema.com). Rencontre avec Lisa Taverna, coordinatrice générale du festival.
Je me souviens : La Strada de Federico Fellini
Sous le titre générique Je me souviens, nous vous proposons la chronique d’un film qui, pour quelque raison que ce soit, a marqué durablement l’esprit et le cœur d’un spectateur. Au jourd’hui : La Strada de Federico Fellini.
L’art du puzzle
Présenté à la Cinémathèque le 9 décembre dernier, La Salamandre, donnait l’occasion de retrouver Bulle Ogier dans l’un de ses rôles les plus marquants mais également d’attiser le souvenir de sa fille, Pascale, disparue prématurément en 1984.
Gaslight & Gaslight
Ecrite en 1938 par le dramaturge anglais Patrick Hamilton, Gaslight a fait l’objet de deux adaptations cinématographiques réalisées, à quatre ans d’intervalle, de part et d’autre de l’Atlantique. Une étude comparative met en lumière les similitudes ou différences de ces films, dont la version américaine (réalisée par Georges Cukor) sera présentée à la Cinémathèque le 24 février prochain.
Vérités et mensonges au far west (1)
L’article qui suit, rédigé par Alain Jacques Bonnet, a fait l’objet d’une première parution partielle dans le n°4 du Cinéfil (février 2011) sous le titre « Six coups, deux temps au Far West ». Vous pouvez retrouver sur notre site internet, l’intégralité du texte (que nous avons choisi de publié à nouveau, en trois parties), accompagné de « repères chronologiques pour une compréhension de la conquête de l’Ouest ». La rédaction
La Prisonnière du Désert
Désigné en 2008 par l’American Film Institute comme « le plus grand western de tous les temps », La Prisonnière du désert, 122ème film réalisé par John Ford, est souvent considéré comme son chef d’œuvre. Sorti en 1956, le film marque le retour du réalisateur au genre qui a fait tout autant sa renommée que celle du cinéma américain.
La Cinémathèque, l’Association Henri Langlois et les Studio : Qui est qui ? Qui fait quoi ?
La Cinémathèque de Tours Henri Langlois et l’association Henri Langlois sont-elles deux structures différentes et indépendantes l’une de l’autre ? Et quel est le lien entre ces deux structures et les cinémas Studio ? Petit retour en arrière pour y voir plus clair.