Les articles publiés dans les anciens numéros du journal

Une affaire d’âme et de conscience

Maniant avec habileté un genre qui a traversé l’histoire du cinéma, La fille au bracelet (Stéphane Demoustier -2020) met non seulement le spectateur face à sa propre conscience mais l’incite, dans le même temps, à s’interroger sur la façon dont il cherche (et trouve) sa place au milieu des autres.

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Duel : réenchantement de l'Ouest sauvage ou paranoïa de l'homme moderne ?

Un camionneur qui poursuit une voiture… Derrière la maigreur apparente de son scénario, le film de Steven Spielberg, Duel (1971) est en vérité assez fascinant, à condition de le lire comme une allégorie de la crise que traverse l’identité américaine au début des années 70.

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Le giallo à travers Mario Bava et Dario Argento

Le giallo, c’est le renouveau du thriller italien au cinéma, dans les années soixante et soixante-dix, genre où se mélange intrigue policière, érotisme et violence.

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Cannes – Orléans : les autres films

Si le festival Cannes 1939 (voir cinéfil n°59) a primé en novembre dernier de grands films qui sont encore dans toutes les mémoires (M. Smith au sénat de Frank Capra, Alexandre Nevski de Sergueï Eisenstein, Elle et lui de Léo McCarey), il a permis aussi de découvrir quelques films plus rares qui, sans être des chefs d’œuvre, n’en sont pas moins des films d’un réel intérêt.

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La Juste route

Pour faire écho aux séances de la Cinémathèque consacrées, en février, au cinéma hongrois, présentation de La Juste route de Ferenc Török, dont le sujet est aussi fort que la mise en scène brillante. Peu distribué lors de sa sortie en 2017, le film est disponible en DVD.

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A propos de Casablanca

L’action du film de Michael Curtiz se déroule presque dans un lieu unique, le Rick’s Café, ce bar américain tenu par Rick Blaine, un homme amer et désenchanté, revenu de tous ses idéaux. Nous sommes en 1942 et, avec sa clientèle cosmopolite, le Rick’s Café est un raccourci étonnant du conflit mondial. S’y côtoient des policiers corrompus, des officiers nazis, des espions, des résistants, des réfugiés…

Lieu mythique s’il en est !

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Le gaslighting, une dangereuse forme de manipulation mentale...

Le terme clinique gaslighting provient d’une pièce de théâtre jouée à Broadway en 1941, qui a donné lieu à deux adaptations cinématographiques, une version anglaise en 1940 et la version américaine de George Cukor en 1944, Gaslight, connue en France sous le titre de Hantise (présenté à la Cinémathèque le 24 février dernier). C’est dans les années 60 qu’il a été utilisé de manière courante pour désigner une forme de manipulation mentale.

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Viva il cinema ! septième

Du 4 au 8 mars prochain, et pour la 7eme année consécutive, le festival Viva il cinema ! mettra à l’honneur le cinéma italien contemporain en proposant une sélection de films, des hommages et des évènements (programme complet à retrouver sur le site www.viva-il-cinema.com). Rencontre avec Lisa Taverna, coordinatrice générale du festival.

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Vérités et mensonges au Far West (2)

Après les origines et la mise en place des codes du genre (voir Cinéfil n°60), les années d’après-guerre. Ou, comment l’engagement des Etats-Unis dans le conflit mondial a influé sur la représentation de la société américaine dans le western, entraînant progressivement un plus grand réalisme et offrant, en particulier, aux Indiens une place plus juste et moins caricaturale.

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Je me souviens : La Strada de Federico Fellini

Sous le titre générique Je me souviens, nous vous proposons la chronique d’un film qui, pour quelque raison que ce soit, a marqué durablement l’esprit et le cœur d’un spectateur. Au jourd’hui : La Strada de Federico Fellini.

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