Association Henri Langlois de Tours
  • Accueil
  • Accès Adhérent
  • Qui sommes-nous ?
    • Présentation de l'association
    • Administration de l'association
    • Les Statuts de l'Association
    • Adhérer
  • Actualités
  • Le journal de l'association
    • Le dernier journal
    • Les anciens articles
  • Liens utiles

Chercher un texte

Connexion

  • Mot de passe perdu ?
  • Identifiant perdu ?
  1. Vous êtes ici :  
  2. Accueil
  3. Le journal de l'association
  4. Les anciens articles

Les articles publiés dans les anciens numéros du journal

Leopardi comme une réponse aux temps présents

La nature demeure toujours verte, ou avance plutôt
Par de si longs chemins
Qu'elle semble immobile. S'effondrent les royaumes,
Passent nations et langues : elle ne voit rien,
Et l'homme se prévaut d'être immortel !
Le Genêt   

 Plus de 300 personnes ont assisté à la projection du film de Mario Martone, Leopardi, (Il giovane favoloso), un chiffre remarquable quand on sait que ce poète, bien que considéré en Italie comme le plus grand après Dante, est méconnu en France. De plus, vouloir raconter sa vie alors qu'il est mort à l'âge de trente-neuf ans sans avoir participé aux combats de son siècle, et sans qu'aucun fait marquant ne soit venu ponctuer sa courte existence, relève d'une gageure de la part d'un cinéaste qui entreprend de réaliser un ''biopic''. Or le charme a opéré et le film a donné envie à bon nombre de spectateurs de se plonger dans la lecture de ses œuvres.

Lire la suite...

Bertrand Tavernier : créateur éclectique

Il est très difficile de trouver une, ou même plusieurs, ligne thématique constante chez Bertrand Tavernier tant son œuvre se disperse autour de scénarios parfaitement hétérogènes. Cela traduit sans doute l'expression artistique de son indéniable amour du cinéma et, par conséquent, de son désir d'en exploiter toutes les facettes. Il a tout fait pour le septième art : de la critique, de la relation publique, de la production, du prosélytisme, des scénarios, et chapitre indispensable à toute déclaration d'amour, de la réalisation.

Lire la suite...

Un film dans son contexte : Capitaine Conan, Bertrand Tavernier 1996

Il y a presque 20 ans sortait le film de Bertrand Tavernier Capitaine Conan d'après le roman éponyme de Roger Vercel publié en 1934 et pour lequel il reçut le prix Goncourt.

Nous étions alors dans la deuxième moitié des années 90 dans un tout autre environnement géopolitique, géo-économique, culturel et intellectuel que celui que nous connaissons aujourd'hui.

Lire la suite...

Les Interviews de Cinéfil - Jean A. Gili

Porteur et chantre du cinéma italien

Alain J. Bonnet : Vous êtes le grand spécialiste français du cinéma italien. Pourtant vous avez débuté votre carrière de critique en écrivant sur le cinéma américain. Comment cette évolution s'est-elle accomplie ?

Jean A. Gili : Ça s'est fait par étapes ! Dans les années 50/60 le cinéma n'existait pas à l'université. Il n'est apparu qu'à la fin des années 60, début 70. Moi, je n'avais pas une formation universitaire dans le cinéma, ma formation universitaire est une formation d'historien. Le cinéma faisait partie de mes passions et mon objectif était de faire en sorte que ma qualité d'historien retrouverait le cinéma, ce qui s'est produit car si j'ai longtemps donné des cours d'histoire pure, petit à petit j'ai introduit le cinéma à l'intérieur de l'enseignement et en 1993, j'ai été nommé professeur à la Sorbonne dans le secteur du Cinéma.

Lire la suite...

Pot au feu de godillot et mocassin sur canapé - 2éme partie

The Party : Blake Edwards 1968

Quarante trois ans plus tard, loin des frimas polaires et des potées de galoches, Peter Sellers sous les traits d'un Indien, Hrundi V. Bakshi, en plein 1968, rejoue la dégustation du soulier. Entre temps, le cinéma a remisé les trappeurs et les lourdes pelisses d'ours, remisé aussi les dernières tribus indiennes. Les voyages ont agrandi le territoire et les vagabonds (tramp, tramp) à force de faire la route, ont fait émerger au bout de l'horizon l'Inde mystérieuse et lointaine. D'autres Indiens sont maintenant sur le devant de la scène. Les sages au calumet coiffés de plumes cèdent la place aux maîtres des philosophies orientales et les ragas du matin ou du soir estompent les chants sioux, cheyennes ou hopis... La non-violence fermente des résistances actives contre la guerre du Viet -Nam et d'immenses sittings ont lieu pour demander un monde plus juste et plus enclin à l'amour. C'est dans ce moment particulier où un peu partout souffle un air plus parfumé, plus sensuel, plus révolté que Peter Sellers vient promener sa nonchalante silhouette indienne.

Lire la suite...

La représentation de la mafia dans le cinéma italien

1° Au nom de la loi :

Le premier film qui aborde le thème de la mafia dans le cinéma italien est Au nom de la loi de Pietro Germi, film de 1949.

Nous sommes en pleine période néo-réaliste. Le cinéma pose alors un regard neuf sur la réalité politique et sociale d'une Italie, à la Libération. Alors que le cinéma de la période précédente, dite des téléphones blancs, était complètement coupé du réel afin de répondre aux exigences de la propagande fasciste et de l'ordre moral, les cinéastes du néo-réalisme prennent conscience du rôle qu'ils peuvent assumer dans cette société en ruine qui est à reconstruire. Ils voient dans leur art une forme d'engagement qui les pousse à tourner leurs caméras vers une réalité consternante dans le but d'agir sur cette réalité, de dessiller les yeux des spectateurs et ce dans une démarche citoyenne.

Lire la suite...

Retour sur les « Journées du cinéma italien à Tours » de février 2014

Conférence de Paolo Modugno (1) : Où en est le cinéma italien aujourd'hui ?

(jeudi 6 février 2014)

Questions - Réponses après son intervention

1. Comment se fait le financement des films en Italie ?

Il n'y a pas les mêmes politiques de financement en Italie et en France.

Lire la suite...

Exposition ‘‘Affiches du Cinéma Italien’’

Péristyle de l'Hôtel de Ville du 07 au 15 février 2015

Vernissage le samedi 07 février à 11 h.

L'Italie à travers son cinéma

L'histoire du cinéma italien et de la société italienne depuis 1945 à nos jours à travers la collection d'affiches de la Cinémathèque de Tours et des Studio.

L'exposition s'organise selon les trois grandes périodes du cinéma italien depuis 1945 à nos jours, tout en suivant le fil conducteur du regard porté par le cinéma sur la réalité italienne. En effet, que ce soit dans le néo-réalisme, la comédie à l'italienne ou le cinéma politique, c'est toujours cette même réalité italienne, à la fois sociale, culturelle et historique, qui s'exprime.

Lire la suite...

Le cinéma en France pendant la grande guerre - 3ème partie

De janvier 1916 à Mars 1917 !

Les exploitants reversent 5% de leurs recettes brutes à l'Assistance Publique au profit des victimes de la guerre, mais, accepté comme un moindre mal par les exploitants, cela n'empêche pas le cinéma de poursuivre sa progression tout au long de l'année 1916, tant en films projetés qu'en nombre de spectateurs tout en utilisant, à peu de chose près, les mêmes recettes dramatiques. Le cinéma fait partie de la vie quotidienne des Français et il est devenu quasiment un acte patriotique. Il reste le support idéal pour propager les valeurs recherchées pour ces temps de guerre : la Patrie bien sûr, la vaillance et le courage mais aussi l'obéissance et l'abnégation, facteurs primaires qui font la force des armées....

Lire la suite...

Le Cinéma dans les livres

Gian Luca Farinelli nous parle de son travail d'éditeur (1)

Gian Luca Farinelli est le directeur de la Cinémathèque de Bologne depuis 14 ans.

Le roman de Chaplin.

C'est Cecilia Cenciarelli qui dirige le travail sur Chaplin.

Le manuscrit était oublié dans les papiers de Chaplin. Ceux-ci furent une véritable découverte pour nous et pour la famille. Notre travail sur la totalité de ces documents est à peu près terminé mais il existe encore d'autres documents à découvrir, notre objectif étant de faire connaître la totalité de ces archives.

Lire la suite...

  1. Pot au feu de godillot et mocassin sur canapé - 1ère partie
  2. Le cinéma en France pendant la grande guerre - 2ème partie
  3. Robert Hennion : Le cinéma populaire oublié.
  4. Totò ou l’ambivalence d’un polyvalent

Page 17 sur 35

  • 12
  • 13
  • 14
  • 15
  • 16
  • 17
  • 18
  • 19
  • 20
  • 21
  • Mentions Légales
  • Contacter le Président de l'Association
  • Plan du site