Association Henri Langlois de Tours
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Les articles publiés dans les anciens numéros du journal

La couleur dans Les Chaussons rouges, Michael Powell

La mort pour l'art : étude du ballet chromatique

      Tourné en technicolor trichrome – procédé mis au point par Herbert Kalmus en 1932, permettant de filmer en couleur grâce à une caméra entraînant trois négatifs en même temps, l'un étant sensible au rouge, l'autre au bleu et un autre au vert - en 1947, après Colonel Blimp (1943) et Le Narcisse noir (1947), Les Chaussons rouges a, selon Bertrand Tavernier, révolutionné la représentation de la danse au cinéma. En effet, on se souvient du véritable « ballet cinématographique », qui marque une déchirure au milieu du film entre les ambitions et le destin de l'héroïne, par la rencontre prodigieuse entre la musique, la danse et la peinture, synthétisés dans l'art cinématographique.

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La révolution numérique

      La révolution est arrivée ! Je parle, bien sur, de la révolution numérique affectant le matériel de projection dont s'équipent aujourd'hui les salles de cinéma mais aussi, et surtout, les caméras automatiques, légères et maniables dont l'utilisation par les professionnels devient de plus en plus fréquente.

      Lors de l'apparition de la vidéo et des caméras spécifiques mises sur le marché, les cinéastes professionnels n'ont guère été concernés puisque les moyens de transcriptions en système analogique, permettant des projections en salle, s'avéraient onéreux avec un rendu de qualité médiocre. Il n'en va pas de même avec les systèmes DVD ou Blu-Ray qui peuvent être exploités sans transformation et qui sont utilisables – tant pour le montage que pour la sonorisation – par n'importe quel quidam pourvu d'un ordinateur.

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Pour quelques mots de plus sur le Western

      Il ne s'agit pas ici de revenir sur l'histoire du western, déjà brillamment évoquée par l'article d'Alain Jacques Bonnet dans le numéro 4 de février 2011 de Cinéfil, ni de prétendre avec ces quelques exemples en épuiser le genre, mais de s'interroger sur ce qui peut faire la singularité du western d'un point de vue cinématographique.

      Dire que « The West » (américain) a donné le western c'est déjà circonscrire le western dans un espace particulier qui s'étend, selon la période historique que l'on prend, de Saint- Louis ou de Chicago à San Francisco et aux rivages du Pacifique. Le western serait donc cette façon de raconter par l'image la conquête de l'Ouest et ce qu'elle sous entend : l'immensité de l'espace sauvage, la difficulté à vaincre les Rocheuses, la lutte contre les populations indiennes ou les rivalités entre pionniers.

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Les Interviews de Cinefil : Samantha Leroy

Samantha Leroy dévoile les trésors de la Cinémathèque française

      Déjà la troisième venue à la Cinémathèque de Tours pour Samantha Leroy, jeune responsable de la valorisation des films à la Cinémathèque Française, et toujours le même enthousiasme qui l'habite : «Ca fait plaisir, à chaque fois, le public de Tours est fidèle et nombreux ! ». Ce soir-là, le 21 mars, elle a apporté dans ses bagages la copie restaurée de « La Fille de l'eau » de Jean Renoir, son tout premier film.
Frêle et souriante, Samantha Leroy aime faire découvrir des films rares, elle qui a commencé par la restauration de pellicules pour se consacrer aujourd'hui à la diffusion de films et entretient ainsi de nombreux liens avec les cinémathèques régionales et du monde entier. Un métier qui la passionne et qu'elle nous fait découvrir tout comme « La Fille de l'eau », film peu diffusé.

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Hommage de Cinéfil : Henri Decae

      Chef Opérateur de 81 films dont Les Amants (programmé à la Cinémathèque le 09 mai 2011)

      Très tôt, la photographie, qui avait pris avec les nouvelles techniques de diffusion une importance considérable, attira le fils de l'ouvrier ébéniste de Saint-Denis près de Paris, et il devint reporter-photographe à l'époque ou d'autres jeunes qui avaient nom Doisneau, Jahan, Sougez, Cartier-Bresson, fixaient le monde dans ses mutations, ses convulsions, ses joies et ses peines.

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Vincente Minnelli, Maître du mélodrame hollywoodien

      Les stéréotypes de l'histoire du cinéma recensent Vincente Minnelli comme l'un des grands réalisateurs de comédies musicales. C'est évidemment exact quand on mesure son rôle primordial dans ce genre cinématographique profondément américain mais c'est aussi réducteur lorsqu'il s'agit de le mesurer aux grands maîtres d'Hollywood.

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Paroles de Cinéphile 3

FENG Siyi est une étudiante de nationalité chinoise qui, après avoir étudié à l'opéra de Pékin, est actuellement en formation Art et Spectacle à l'université de Tours. Dans ce cadre elle a également effectué un stage à la Cinémathèque de Tours. Son texte, rédigé en français, a été revu par le Comité de rédaction.

Le premier film chinois et son histoire

      La première projection publique du cinématographe a eu lieu à Paris en 1895, présentée par les frères Lumière. Dès l'année suivante de nombreux hommes d'affaires étrangers ont commencé à montrer des films en Chine. Au début les Chinois étaient tout simplement curieux de cette ''chose'' étrangère pour l'époque, mais petit à petit de plus en plus de gens ont été attirés par ce spectacle. Il est difficile de définir le premier film du monde, mais il est facile de trouver le premier film chinois.

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Une restauration attendue : Seule (1931)

de Gregori KOZINTSEV et Leonid TRAUBERG

      Les historiens de cinéma et les cinéphiles avancés connaissent l'importance de l'Avant Garde du cinéma russe. Ils se souviennent aussi qu'un jeune créateur, alors âgé de 19 ans, Gregori Kozintsev et son compère, à peine plus vieux, Leonid Trauberg créèrent dans les années 20 à Moscou la FEKS (la fabrique de l'acteur excentrique). On y propose un style d'interprétation puisé dans les techniques de la gymnastique, de la boxe, de l'équilibriste de cirque ; que les acteurs intègrent pour s'en servir dans leur jeu. Ce jeu apporte beaucoup au rythme de la scène à interpréter. L'acteur ne transmet pas totalement l'émotion par le seul jeu de son corps. Il fait également usage des rapports qui le lient aux objets et reporte sur eux, pour mieux le transmette, l'accord de l'émotion

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Un naturalisme teinté d’imaginaire : La fille de l’eau, Jean Renoir

      « Le plus grand metteur en scène du monde » selon Charlie Chaplin, Jean Renoir est pourtant peu connu pour son œuvre muette, dont La Fille de l'eau, réalisé en 1924, constitue le premier film et également le premier succès public de l'auteur. Dès le début, Renoir a donc été un cinéaste à succès, même s'il affirme s'être lancé dans le cinéma uniquement par amour pour Catherine Hessling, dernier modèle de son père Jean Auguste Renoir et femme du cinéaste : « J'insiste sur le fait que je n'ai mis les pieds dans le cinéma que dans l'espoir de faire de ma femme une vedette » affirme-t-il dans ses mémoires. Elle est en effet l'interprète du rôle principal des trois réalisations muettes de Renoir, dont un coffret a été édité chez Studio Canal après la restauration des trois pellicules par la Cinémathèque française en 2005, à l'occasion de l'installation du bâtiment dans ses nouveaux locaux.

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A propos de : L'Intendant Sansho de Kenji Mizoguchi - 1954

      Cette saga familiale tragique, ciselée dans une veine proche des « Contes de la lune vague après la pluie », est une réussite presque parfaite ...
      Certes, il n'est pas toujours facile d'accéder au contexte du film japonais ...
      Difficile parfois de saisir les sentiments derrière les visages impassibles, voire fermés de ces gens, car c'est bien là qu'il faut être attentif aux moindres changements expressifs, mimiques, rictus des lèvres, brusqueries gestuelles et vocales, lire entre les lignes des dialogues les volontés suggérées et les ressentiments cachés, parce que pudiques à l'excès, l'essentielle vertu asiatique étant de « ... ne pas perdre la face »...

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  1. Les Interviews de Cinefil : Denis Jourdin
  2. La culture du Shinto
  3. Petite histoire du Cinéma Japonais
  4. Petite histoire du Japon (Nippon)

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